S.O.S
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"SOS", Arsène LAPIE, série "Pénibilité". 1/3, 2024.
« SOS » d’Arsène LAPIE est un commentaire perspicace sur les complexités de la vie moderne. Il présente une société où les signaux de détresse sont ignorés ou mal compris, où les préoccupations superficielles éclipsent les luttes réelles et invisibles. Grâce à l’utilisation de techniques de street art, LAPIE attire efficacement l’attention sur ces problèmes, encourageant les spectateurs à affronter les crises silencieuses qui persistent dans notre vie quotidienne.
L’œuvre d’art se veut une critique d’une société où les vrais problèmes sont ignorés ou mal interprétés. Elle met en évidence le décalage entre les aspects visibles et invisibles de la détresse, qu’il s’agisse de fausses nouvelles (canulars), de médecine charlataniste (bobologie) ou de problèmes de santé mentale (maladies invisibles). En ce sens, LAPIE semble soutenir que les véritables sources de souffrance dans la vie contemporaine sont souvent ignorées, tandis que les préoccupations superficielles dominent le discours public.
En utilisant des matériaux issus du street art, LAPIE invite le spectateur à questionner le rôle de l'art dans la société contemporaine. Le street art, qui puise ses racines dans la contestation et la subversion, offre un commentaire brut et direct sur la dissonance entre les structures sociales et les besoins des individus. Le choix de l'artiste de dépeindre un message urgent mais mal compris met l'accent sur la frustration et l'isolement que beaucoup vivent aujourd'hui.
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"SOS", Arsène LAPIE, série "Pénibilité". 1/3, 2024.
« SOS » d’Arsène LAPIE est un commentaire perspicace sur les complexités de la vie moderne. Il présente une société où les signaux de détresse sont ignorés ou mal compris, où les préoccupations superficielles éclipsent les luttes réelles et invisibles. Grâce à l’utilisation de techniques de street art, LAPIE attire efficacement l’attention sur ces problèmes, encourageant les spectateurs à affronter les crises silencieuses qui persistent dans notre vie quotidienne.
L’œuvre d’art se veut une critique d’une société où les vrais problèmes sont ignorés ou mal interprétés. Elle met en évidence le décalage entre les aspects visibles et invisibles de la détresse, qu’il s’agisse de fausses nouvelles (canulars), de médecine charlataniste (bobologie) ou de problèmes de santé mentale (maladies invisibles). En ce sens, LAPIE semble soutenir que les véritables sources de souffrance dans la vie contemporaine sont souvent ignorées, tandis que les préoccupations superficielles dominent le discours public.
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